Des experts estiment la prévalence des survivantes du cancer du sein au Canada

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Ce sont les informations qu'elle n'a pas pu trouver qui ont conduit Amy Kirkham, professeure adjointe à la Faculté de kinésiologie et d'éducation physique (KPE) de l'Université de Toronto, à sa dernière découverte. Invité par l'Alliance canadienne pour la santé cardiaque des femmes à co-écrire une déclaration scientifique sur l'état de la santé cardiaque des femmes au Canada en 2020, Kirkham - dont les recherches portent sur la prévention et la gestion du risque de maladie cardiaque associée au traitement du cancer du sein - avait besoin de savoir quel pourcentage de la population féminine canadienne est atteinte d'un cancer du sein. Mais la dernière statistique qu'elle a pu trouver...

Es waren die Informationen, die sie nicht finden konnte, die Amy Kirkham, eine Assistenzprofessorin an der Fakultät für Kinesiologie und Körpererziehung (KPE) der Universität von Toronto, zu ihrer neuesten Entdeckung führten. Von der Canadian Women’s Heart Health Alliance gebeten, im Jahr 2020 ein wissenschaftliches Statement zum Stand der Herzgesundheit von Frauen in Kanada mitzuverfassen, benötigte Kirkham – deren Forschung sich auf die Prävention und Behandlung des Risikos von Herzerkrankungen im Zusammenhang mit der Behandlung von Brustkrebs konzentriert um zu wissen, wie viel Prozent der kanadischen weiblichen Bevölkerung an Brustkrebs erkrankt sind. Aber die letzte Statistik, die sie finden konnte – …
Ce sont les informations qu'elle n'a pas pu trouver qui ont conduit Amy Kirkham, professeure adjointe à la Faculté de kinésiologie et d'éducation physique (KPE) de l'Université de Toronto, à sa dernière découverte. Invité par l'Alliance canadienne pour la santé cardiaque des femmes à co-écrire une déclaration scientifique sur l'état de la santé cardiaque des femmes au Canada en 2020, Kirkham - dont les recherches portent sur la prévention et la gestion du risque de maladie cardiaque associée au traitement du cancer du sein - avait besoin de savoir quel pourcentage de la population féminine canadienne est atteinte d'un cancer du sein. Mais la dernière statistique qu'elle a pu trouver...

Des experts estiment la prévalence des survivantes du cancer du sein au Canada

Ce sont les informations qu'elle n'a pas pu trouver qui ont conduit Amy Kirkham, professeure adjointe à la Faculté de kinésiologie et d'éducation physique (KPE) de l'Université de Toronto, à sa dernière découverte.

Invité par l'Alliance canadienne pour la santé cardiaque des femmes à co-écrire une déclaration scientifique sur l'état de la santé cardiaque des femmes au Canada en 2020, Kirkham - dont les recherches portent sur la prévention et la gestion du risque de maladie cardiaque associée au traitement du cancer du sein - avait besoin de savoir quel pourcentage de la population féminine canadienne est atteinte d'un cancer du sein.

Mais la dernière statistique qu’elle a pu trouver – un pour cent – ​​datait de 2007.

Près de 15 ans s'étaient écoulés et je n'ai trouvé aucune citation récente sur la prévalence des survivantes du cancer du sein au Canada. Le taux de mortalité par cancer du sein s’est amélioré de 26 % au cours de cette période, je soupçonnais donc que ce chiffre n’était plus exact.

Amy Kirkham, professeure adjointe, Faculté de kinésiologie et d'éducation physique, Université de Toronto

Ainsi Kirkham, en collaboration avec Katarzyna Jerzak, oncologue médical au Sunnybrook Odette Cancer Center et professeur adjoint au Département de médecine de la Faculté de médecine Temerty de l'Université de Toronto, a lancé une nouvelle étude qui fournit une estimation actuelle de la prévalence des survivantes du cancer du sein au Canada en 2022 à l'aide des rapports annuels sur les statistiques sur le cancer de la Société canadienne du cancer.

L'étude, récemment publiée dans le Journal of the National Comprehensive Cancer Network, a révélé qu'au cours de la période de 15 ans allant de 2007 à 2021, 370 756 patientes (2,1 pour cent de la population féminine adulte au Canada en 2022) ont reçu un diagnostic de cancer du sein et que 86 pour cent de ces femmes auraient survécu au cancer du sein d'ici 2022.

«Cela indique que la prévalence des survivantes du cancer du sein dans la population féminine canadienne a doublé et qu'il y a 2,5 fois plus de survivantes depuis la dernière estimation de 2007», explique Kirkham.

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L'estimation précédente n'incluait pas le groupe d'âge des survivantes, mais selon la nouvelle estimation de Kirkham et Jerzak, les survivantes du cancer du sein représentent 1 pour cent des femmes canadiennes dans le groupe d'âge typique pour travailler et/ou élever des enfants (20 à 64 ans) et 5,4 pour cent des femmes canadiennes plus âgées (plus de 65 ans).

Mais ce ne sont pas toutes de bonnes nouvelles.

De nombreux traitements qui ont amélioré les taux de mortalité par cancer du sein provoquent également des effets secondaires à court et à long terme, qui peuvent à leur tour augmenter le risque de décès dû à d'autres causes telles que les maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, la maladie d'Alzheimer, les maladies du foie et d'autres conséquences non mortelles sur la santé.

"La principale cause de décès chez les femmes atteintes d'un cancer du sein est la maladie cardiaque", explique Kirkham.

De telles conditions ont également un impact sur les coûts globaux des soins de santé.

Pour démontrer les coûts excessifs des soins de santé associés aux maladies cardiaques, Kirkham et Jerzak ont ​​mené une analyse supplémentaire à l’aide de données canadiennes sur les taux et les coûts d’hospitalisation pour insuffisance cardiaque. Ils ont découvert que deux pour cent des femmes diagnostiquées avec un cancer du sein entre 2007 et 2021 seraient probablement hospitalisées pour insuffisance cardiaque, ce qui coûterait au total 66,5 millions de dollars. Jusqu'à 25 pour cent de ces coûts, soit 16,5 millions de dollars, dépassaient les coûts qui seraient supportés par les femmes sans cancer du sein.

« Compte tenu des coûts excessifs des soins de santé, du potentiel de réduction des contributions à la main-d'œuvre et de la qualité de vie réduite associée aux effets secondaires à long terme et au risque de décès excessif chez les survivantes du cancer du sein, notre travail met en évidence qu'une partie croissante de la population a besoin de services pour soutenir la guérison du traitement du cancer du sein », explique Kirkham.

« L’objectif de mon laboratoire de recherche est de développer de nouvelles thérapies pour améliorer la santé des femmes en convalescence après un cancer du sein. »

Source:

Université de Toronto

Référence:

Kirkham, AA et coll. (2022) Prévalence des survivantes du cancer du sein chez les femmes canadiennes. Journal du Réseau national global de lutte contre le cancer. doi.org/10.6004/jnccn.2022.7028.

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