Santé mentale : pourquoi il faut enfin en parler !

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Une étude récente montre à quel point la stigmatisation de la maladie mentale inhibe la recherche d'un traitement. L’éducation est cruciale.

Eine aktuelle Studie zeigt, wie Stigmatisierung psychischer Erkrankungen die Inanspruchnahme von Therapie hemmt. Aufklärung ist entscheidend.
Une étude récente montre à quel point la stigmatisation de la maladie mentale inhibe la recherche d'un traitement. L’éducation est cruciale.

Santé mentale : pourquoi il faut enfin en parler !

Une étude actuelle de la Health Knowledge Foundation montre que l'incertitude et la peur empêchent de nombreuses personnes en Allemagne de recourir à une aide psychothérapeutique. Les problèmes mentaux sont souvent considérés comme un sujet tabou, c'est pourquoi environ la moitié de la population hésite à parler de ses difficultés mentales. Deux personnes interrogées sur cinq craignent que leurs symptômes puissent être considérés comme « imaginaires » si aucune cause physique n’est trouvée.

Les hommes et les personnes socialement défavorisées ont souvent des idées stigmatisantes sur la psychothérapie, qui les empêchent de demander de l'aide à temps. L'étude souligne l'importance de l'éducation précoce en matière de santé mentale et de services de soutien appropriés. Les personnes ayant des connaissances en santé plus élevées montrent moins d’inhibitions à rechercher une aide psychothérapeutique, ce qui souligne la nécessité d’une information complète. Cela devrait commencer dès l’école pour permettre aux jeunes de rechercher et d’évaluer plus facilement des informations. La Health Knowledge Foundation propose du matériel pédagogique et du contenu numérique sur des sujets tels que la gestion du stress, les troubles de l’alimentation et la consommation des médias sur son site Internet « Breakfast Healthy » afin de sensibiliser.

Stigmatisation de la maladie mentale

La question de la stigmatisation de la maladie mentale est abordée dans un autre rapport de Journal médical traité. Cette stigmatisation touche non seulement les personnes concernées, mais aussi leurs proches. De nombreuses personnes se sentent exclues par honte ou par peur d’un diagnostic et ne participent donc pas de manière égale à la vie sociale. Cela les empêche souvent de se faire soigner à temps, augmentant ainsi le risque que leur maladie devienne chronique. Cette stigmatisation est qualifiée de « deuxième maladie ».

Pour contrer cela, la Mental Health Action Alliance a lancé une initiative nationale de lutte contre la stigmatisation. Une semaine de campagne annuelle sur la santé mentale est actuellement prévue pour sensibiliser à ce problème. De plus, les Journées des Psychothérapeutes ont adopté des résolutions qui servent à déstigmatiser les maladies mentales. L'accord de coalition du gouvernement fédéral prévoit également une campagne éducative visant à réduire les préjugés. Selon le Rapport de l’OMS sur la santé mentale dans le monde, près d’un milliard de personnes dans le monde vivent avec une maladie mentale, ce qui souligne l’urgence et l’ampleur de ce problème.